Un premier monde est celui de « l’entreprise »
On y travaille des techniques de vente, de négociation, des réflexions sur le développement personnel ou des apports sur le management, etc.
Elle demande une maîtrise de ces apports, ceci de manière presque immédiate, et souvent avec très peu d’entraînement.
Le défi est très ambitieux, voire presque utopique.
Quoi qu’il en soit : l’exigence de l’entreprise est souvent extrême.
Un deuxième monde est la « sphère privée »
Cet espace de détente est où l’on se ressource.
On se coupe volontairement du monde de l’entreprise, perçu souvent comme source de stress ou de pressions excessives. Surtout couper le lien et donc oublier certaines bonnes pratiques estampillées “entreprise”.
Cette « opposition des mondes » m’apparaît stérile. C’est un non-sens. Un énorme gâchis.
Le fait de s’interdire d’utiliser des outils techniques, des réflexions, des échanges, etc. vus en entreprise ou l’inverse, nous empêche de nous entraîner quotidiennement.
Quelle différence importante existe-t- il entre convaincre ma femme d’adhérer à mon choix et convaincre un client d’adhérer à ma proposition ?
Certes, le contexte est différent, mais beaucoup de techniques de communication, de postures mentales, de comportements, etc. sont communs aux deux actions.
La réussite ne peut être que globale.
